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| fr:habby [2022/09/12 11:44] – ylecoarer | fr:habby [2022/09/12 14:00] – ylecoarer |
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| Ce logiciel dispose de deux types de modélisation d'habitat : | Ce logiciel dispose de deux types de modélisation d'habitat : |
| * A partir de modèles statistiques : Estimhab, Stathab, Stathab Steep et FStress. | * A partir de modèles statistiques : Estimhab, Stathab, Stathab Steep et FStress. |
| * A partir de modèles physiques : couplage de cartographie de substrat et de données issues de modélisation hydraulique 2D (TELEMAC, HAC-RAS2D, ..). | * A partir de modèles physiques : couplage de cartographie de substrat et de données issues de modélisation hydraulique 2D (TELEMAC, HEC-RAS 2D, ..). |
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| Se référer aux [[fr:interface:bases|notions de base]] pour découvrir l'interface graphique. | Se référer aux [[fr:interface:bases|notions de base]] pour découvrir l'interface graphique. |
| {{:fr:context_qmin.jpg?700|)}}//Une démarche consensuelle, à base de scénarios, pour définir les débits écologiques (d’après Lamouroux et al., 2018)// | {{:fr:context_qmin.jpg?700|)}}//Une démarche consensuelle, à base de scénarios, pour définir les débits écologiques (d’après Lamouroux et al., 2018)// |
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| Le principe général des modèles d'habitat hydraulique est de coupler un modèle hydraulique qui décrit les caractéristiques hydrauliques des microhabitats (vitesse, hauteur d’eau …), avec des modèles de préférence des espèces et/ou stades de vie et/ou groupes d'espèces pour ces caractéristiques. Utilisés le plus souvent à l'échelle des tronçons de cours d'eau, ces modèles d'habitat permettent de cartographier des valeurs d'habitat (OSI en anglais, souvent normalisées sous forme de scores de préférence variant entre 0 et 1) qui reflètent la qualité de l'habitat hydraulique pour les taxons considérés. Une variation de la valeur d'habitat moyenne sur le tronçon ou d’une "surface pondérée utile" SPU (m2, WUA en anglais, produit de la valeur d'habitat et de la surface du tronçon) peut alors synthétiser l'impact d’une variation de débit sur la qualité de l'habitat hydraulique. | Le principe général des modèles d'habitat hydraulique est de coupler un modèle hydraulique qui décrit les caractéristiques hydrauliques des microhabitats (vitesse, hauteur d’eau …), avec des modèles de préférence des espèces et/ou stades de vie et/ou groupes d'espèces pour ces caractéristiques. Utilisés le plus souvent à l'échelle des tronçons de cours d'eau, ces modèles d'habitat permettent de cartographier des valeurs d'habitat (OSI en anglais, souvent normalisées sous forme de scores de préférence variant entre 0 et 1) qui reflètent la qualité de l'habitat hydraulique pour les taxons considérés. Une variation de la valeur d'habitat moyenne sur le tronçon ou d’une "surface pondérée utile" SPU ($\mathit{m^2}$, WUA en anglais, produit de la valeur d'habitat et de la surface du tronçon) peut alors synthétiser l'impact d’une variation de débit sur la qualité de l'habitat hydraulique. |
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| {{:fr:couplage_hyd_bio.png?900|}}//Les modèles d'habitat conventionnels couplent un modèle hydraulique du cours d'eau avec des modèles de préférences biologiques// | {{:fr:couplage_hyd_bio.png?900|}}//Les modèles d'habitat conventionnels couplent un modèle hydraulique du cours d'eau avec des modèles de préférences biologiques// |
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| La plupart de modèles d’habitat sont numériques, car reposent sur un modèle hydrodynamique numérique (aujourd'hui souvent bidimensionnel) qui résout les équations de conservation de la masse et de l'énergie sur un tronçon de cours d'eau. Ces modèles nécessitent des données de topographie du lit en trois dimensions et une calibration hydraulique experte. | La plupart de modèles d’habitat sont numériques, car reposent sur un modèle hydrodynamique numérique (aujourd'hui souvent bidimensionnel) qui résout les équations de conservation de la masse et de l'énergie sur un tronçon de cours d'eau. Ces modèles nécessitent des données de topographie du lit en trois dimensions et une calibration hydraulique experte. |